Employés à la forme impersonnelle (c’est-à-dire que le sujet "il" ne représente rien), on confond parfois les verbes falloir et valoir. De plus, les deux consonnes f et v étant phonétiquement très proches, cela n’aide pas à les distinguer.
On ne compte plus le nombre de fois que l’on entend "Je suis venu(e) en vélo", "il roule toujours en vélo", etc. Pourtant, tous les puristes vous le diront, on ne dit pas en vélo mais à vélo.
Voici l’une des fautes de français les plus répandues. En effet, bien que ces verbes soient étroitement liés, renvoyant tous deux à une même notion, on oublie qu’ils ne construisent pas de la même façon.